La Commission électorale nationale indépendante (Ceni) est à pied d’oeuvre pour les préparatifs des élections législatives. L’opposition tire la sonnette d’alarme.

Malgré les cris d’alarme de l’opposition, la Ceni fonce. La coalition des partis politiques de l’opposition demande la recomposition de l’instance nationale qui organise les élections législatives, mais le gouvernement fait la sourde oreille.

Ce vendredi 24 août 2018, la Ceni a convoqué les opérateurs de saisies pour démarrer les recensements électoraux.

Le Togo a connu des tragédies postélectorales et ces crises politiques sont issues des processus électoraux. Les plus critiques sont celles de 1998, 2005 avec leurs lots de blessés, d’exilés et de morts.

Pourquoi malgré ces horreurs que le peuple a vécues, faut-il le conduire encore vers un processus électoral sans un minimum de compromis ? Et pour quel résultat. ? Comme on le dit les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets.