De plus de 3 semaines, les villes françaises connaissent une paralysie dans le secteur des transports.

A Strasbourg, la grève n’est pas suivie comme à Paris, à Lyon, à Bordeaux et à Toulouse. Les trams circulent normalement. Les Français vaquent à leurs occupations. « Ici nous n’avons pas la Sncf. Nous circulons bien. Mais, nous avons une peur pour notre pays. Nous avons peur d’une révolution », peste Cécile, une caissière d’un supermarché à la place du Basquet.

Le président Macron, lors de son discours à la nation, reste droit dans ses bottes et a sommé le premier ministre Edourd Philippe de trouver un modus vivendi avec les syndicats des travailleurs.