Avant la célébration de la journée mondiale de la liberté de la presse, les journalistes font le diagnostic des maux qui minent la corporation.

Le paysage médiatique togolais est bipolarisé. Sur les médias, les journalistes font le débat politique à la place des politiques. La confraternité est violée sur l’autel des intérêts.

Aux politiques, les journalistes leur demandent de réanimer le débat politique aprés l’election présidentielle de l’année dernière. « La prochaine éléction se prépare au lendemain de la proclamation des résultats », a réitéré un journaliste.

« Au Togo, l’opposition se réveille tardivement pour affronter le parti au pouvoir », constate un autre journaliste.

Au Togo, les journalistes n’ont pas encore une convention collective.