

En 1994, l’Union togolaise pour la démocratie (Utd) et le Comité d’action pour le renouveau (Car) ont remporté la majorité des surffrages lors des élections législatives.
L’opposition (Utd et Car) a remporté la majorité des sièges sur 81. Le Rassemblement du peuple togolais (Rpt) avait été crédité de 38 sièges, le Car 36 et l’Utd de 7 sièges. Le président d’alors Eyadema Gnassingbe a nommé Edem Kodjo comme premier ministre. Ce dernier forme son gouvernement, Yaovi Agboyibo a claqué la porte.
Cette majorité pouvait permettre aux deux opposants de changer l’histoire politique du pays. Mais, c’est peine perdue.
« Le landerneau politique togolais est grippé. L’opposition togolaise est une béquille pour le pouvoir en place. », peste un observateur de la scène politique togolaise, Edmond Kouassi.
La dernière illustration des opposants fut l’élection présidentielle du 22 février 2020. Au lieu de désigner un candidat unique, les éternels opposants ont étalé sur la place publique leurs divisions et querelles intestines.















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