Oscar-Oscar, Air Force One, The Albatros, La Pointe de Sangomar… Des petits noms pour des gros coucous : ceux utilisés par nos dirigeants. Dans son édition du 22 juin, Jeune Afrique lève le voile sur les avions des chefs d'État africains.
Chaque fois qu'un président entreprend l'achat d'un Boeing ou d'un Airbus, les accusations de gabegie fusent. Il faut dire qu'il n'y a guère de limites quand il s'agit d'habiller ces avions VIP. Au Mali, l'achat d'un Boeing 737 destiné au nouvel élu pour 30 millions d'euros a provoqué de virulentes attaques contre Ibrahim Boubacar Keïta.
Mais la question de savoir s'il faut qu'un chef d'État possède son propre moyen de transport dépasse les considérations purement budgétaires.
Souveraineté nationale, confort de travail, domination économique, mégalomanie du patron… Les critères déterminants la manière dont un chef d'État veut (ou peut) voyager sont nombreux.
Par ailleurs, toutes les dorures du monde ne sauraient protéger d'un éventuel drame, et nombreux sont les dirigeants de la planète, dans la jeune histoire de l'aviation, à avoir perdu la vie dans des aéronefs. Ainsi, par exemple, de Samora Machel, premier président du Mozambique, dont le Tupolev 134 s'est écrasé en octobre 1986 sur les flancs des monts Lebombo.
Sécurité, luxe, budget… L'enquête que publie Jeune Afrique vous emmène dans les valises de vos présidents et dévoile ce que vous avez toujours voulu savoir sur leurs voyages.
Retrouvez l'enquête « Air Africa One » dans Jeune Afrique n°2789, du 22 au 28 juin 2014.
Source : www.jeuneafrique.com
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