Le leader de l’état islamique Abou Bakr Al-Baghdadi a été neutralisé le week-end dernier au nord de la Syrie près de la frontière turque dans une opération des forces spéciales américaines.

Dans son discours pour annoncer la mort du chef de l’état Islamique, le président américain Donald Trump a affirmé depuis la Maison Blanche que lors de l’opération, le terroriste qui était acculé, s’est retranché dans un tunnel et s’est explosé avec trois de ses enfants.

Selon les propos du président, «Il est mort comme un chien. Il est mort comme un lâche».
Son identification a été confirmé après des tests d’ADN effectués sur les lieux de l’opération.

Le président Trump à loué le courage des forces spéciales et surtout le travail entreprit par le chien du commando lors de l’opération. Il a également remercié les pays comme la Russie, la Turquie et L’Irak qui ont contribué à la réussite de la mission.

Après la mort du leader, une question demeure: La lutte contre le terrorisme doit-elle s’accentuer ou faiblir? Il est clair que comme la structure de gestion de ce groupe terroriste n’obéit pas à des structures normales et traditionnelles, un autre chef émergera bientôt.

Il est certain que la mort d’ Abou Bakr Al-Baghdadi porte un coup sérieux au groupe islamique mais ce n’est qu’une bataille gagnée contre le terrorisme pas la guerre.

Komlan Mawuli A.