La raison du plus fort est toujours la meilleure dit-on souvent. Mais, dans ce contexte, la raison du chef du quartier de Kangnikopé, Togbé Kangni Agbokpè, et de son comité de développement du quartier (Cdq) sera t-elle meilleure contre celle des populations?

Dans un précédent article intitulé « une escroquerie du Cdq Kangnikopé au profit de la mairie », notre journal a relevé la mauvaise gestion du Cdq en complicité avec le chef quartier. Mais, contre vents et marées, le duo Agbede Paul et Agbokpè signent et persistent sur la location des alentours du stade omnisports de Kangnikopé et les abords des rails longeant le quartier.

« Nous avons été convoqué la semaine dernière au palais du chef qui nous a demandé de continuer par payer les frais de place que nous occupons », a rapporté à notre rédaction l’un des participants à la réunion avant d’ajouter que « le chef n’a pas été doux dans ses propos. Il nous a demandé si jamais en tant que chef, il arrivait qu’il nous demande de quitter les lieux pour refus de paiement, est ce que nous allons refuser?  »

C’est l’occasion d’attirer l’attention des responsables de la mairie centrale à investir dans cette affaire, afin de savoir où va cette somme qu’on soutire aux pauvres locataires en attendant la mise en place de la mairie de cet arrondissement.

Selon les sources concordantes, le rédacteur de l’article précédent, notre reporter, est dans le viseur de la chefferie et du président du Cdq. L’un des collaborateurs du chef, dame Bèta profère des menaces contre le reporter de votre média, golfenews. S’il advenait que les membres du cdq aient un problème, le reporter qui a fait les recoupement des informatons et a publié l’article sera le bouc émissaire.

Pour faux et usage de faux, un membre du comité de développement craint le pire et confie à notre redaction que les gilets à l’effigie de la mairie et les badges que mettent certains de leurs membres au cou ont été une conception de certaines personnes véreux pour avoir des intérêts financiers.

En attendant que le pire n’arrive, le journal gofenews prend à temoin les organisations de presse et les pauvres commerçants des différentes menaces à l’endroit de ses rédacteurs. Ces menaces auxquelles nous sommes habituées, contre tenu de notre profession, sont mises dans notre gibécière.

Dozo