L'opposition togolaise était dans les rues pour réclamer la mise en oeuvre des réformes politiques le samedi 2 juillet 2016.
Démarrée à Bè Gakpoto, la marche du Combat pour l'Alternance Politique (CAP) en 2015 a comme point de jute Akassimé (l'un des quartier de Lomé).
Prévues par l’Accord Politique Global (APG), signé en août 2006, les reformes constitutionnelles et institutionnelles trainent toujours au Togo.
Selon les responsables des principaux partis politiques d'opposition il est temps pour qu'on limite le mandat présidentiel au Togo.
Sur les pancartes l'on pouvait lire: "Peuple togolais, lèves-toi et défends tes droits", " Peule togolais, exigeons les réformes politiques", "Partis politiques, société civile exigeons les réformes politiques", " Awa Nana Daboya n’inspire aucune confiance".
Les responsables du CAP ont, au cours de leurs déclarations, demandé au pouvoir en place d'opérer les reformes.
Brigitte Kafui Adjamgno-Johnson et Jean-Pierre Fabre ont déploré l'hostilité du gouvernement togolais à mettre en oeuvre les reliquats de l’APG.
Le CAP 2015 est composé des partis politiques comme l'UDPS-Togo, le PSR, la CDPA et l'ANC.
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