L’attaque du journal satirique Charlie Hebdo a suscité de la compassion et de l’indignation  dans le monde entier. Cet évènement  a fait défiler plus des milliers de personnes au cours de la marche républicaine  le dimanche dernier à Paris.

A la une du dernier  numéro des survivants, l’on pouvait retrouver la caricature du  prophète Mahomet, ce qui n’a pas laissé indifférent le monde musulman. Dessiné par Luz, le prophète verse une larme tenant dans ses mains la pancarte "Je suis Charlie", couronné des mots "Tout est pardonné". 

A la sortie de ce  numéro de Charlie hebdo,  peu sont ceux qui  demeurent  encore ‘’Charlie’’ sur les réseaux sociaux et autres.  Parce que, la liberté de presse   ne signifie pas libertinage.  

Attaqué la foi de certains croyants, s’est porté atteinte à tous ce qui leur   reste comme espoir dans un monde où les riches deviennent de plus en  plus riches et les pauvres s’appauvrissent davantage. Passons !

Les soulèvements dans certains pays musulmans, comme le Niger, contre ce fait,  doit interpeller le journal Charlie Hebdo ‘’à mettre de l’eau dans ses dessins’’ et respecter la foi de tout le monde.

Les journalistes, dans l’exercice de leur profession,  doivent respecter la foi  de toutes les confessions religieuses.

Ce coup de gueule, loin d’être une leçon, est le point de vue d’un journaliste.