Dans le livre ‘Libre pour la vérité et la justice de Laurent Gbagbo’, l’auteur présente le cacao ivoirien comme le sang du pays.

Les cours du cacao, selon Gbagbo, dépendaient de la situation siociopolitique du pays. « Pour en savoir si on était à la veille d’un coup d’État en Côte d’Ivoire, ces dernières années, il suffisait de surveiller le cours du cacao!. », écrit Laurent Gbagbo.

Des opérations de spéculation ont eu lieu en Côte d’Ivoire trois mois avant l’élection présidentielle de 2010. « En juillet 2010, tandis que le premier tour de l’élection présidentielle tant attendue se profile, le trader anglais achète cette fois 240 000 tonnes de fèves de cacao à la bourse des matières premières, Londres: 7% de la production mondiale, 15% des stocks mondiaux, plus 700 millions d’euros à l’achat, un bénéfice exorbitant. Les cours montent au niveau extravagant de 3264 euros la tonne, le plus élevé depuis 1997. », précisent Gbagbo.

Ce jeu des cours de cacao est organisé à dessin pour une cause. Les organisations non gouvernementales constatent ce jeu se pratiquer sur le dos des planteurs. « Peu importe, grâce à Ouattara, à son beau fils Loïc Folloroux, Armajaro a fait son beurre. Et son chocolat. L’anomalie avait évidemment été repérée par les services officiels de l’époque. », précise Gbagbo.

Votre média vous présente, par semaine, le résumé du livre de Laurent Gbagbo Libre pour la vérité et la justice.