
Le sommet de l’Union africaine s’ouvre ce week end à Johannesburg en Afrique du Sud. 55 pays membres prennent part à cette réunion des Chefs d’Etat sur le développement, les guerres, la sécurité. La place des femmes en Afrique sera également au menu des discussions.
De sommet en sommet, l’UA veut paraitre comme une organisation pris en otage avec des discours creux sans effets ; la plupart de ses décisions sont comme de l’eau versée sur le dos du canard. Pour la plupart des Chefs d’Etat de l’UA, c’est le pouvoir qui garantit tout. Ainsi, certains ont décidé de rester advita eternam au pouvoir en toilettant la Constitution.
Alors que le principal problème auquel la jeunesse des pays de l’UA est confrontée est le problème de l’emploi.
Pour donner de la force à ce ‘’machin’’, de l’UA, il va falloir harmoniser les constitutions dans tous les pays, mettre en place une commission électorale nationale indépendante (Ceni) panafricaine pour organiser les élections, instaurer la bonne gouvernance et une alternance pacifique. La CEDEAO a essayé de limiter le nombre de mandat dans les pays membres, mais deux Etats (Gambie et Togo) ont refusé.
Mettre également en place, les indicateurs clairs pour mesurer l’avancée de la démocratie et la bonne gouvernance dans les 55 pays membres.
Prenant l’exemple de l’Union européenne (Ue), qui est à 26 pays membres. Pare qu’avant d’être pays membres, il faut respecter les critères de bonne gouvernance.
Quoi qu’on dise, le drame de l’immigration reste un problème crucial. Aussi, la mise en place du NEPAD n’a pas réussi. Beaucoup de défis restent à relever dans certains pays africains.






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