Deux  (2)  présumés malades de la fièvre d’Ebola créent   de la psychose au sein de la population loméenne depuis la semaine dernière.

En effet,  au Chu campus de Lomé, deux cas suspects, celui  d’un Philippin de  32 ans et d’une Togolaise  ont semé la crainte au sein du personnel du Chu campus.

Le Philippin   était  à bord d’un bateau et est tombé malade. Une goute épaisse a révélé la présence d’un paludisme grave  (500.000 mm cube) avec  un  signe digestif.

Quant à la Togolaise, une  étudiante revenue de Sierra Leone, suite à  un voyage religieux, a développé  une fièvre le 12 août. « Elle développait les signes mineurs, on lui a  fait des prélèvements » a expliqué le  Dr Patassi.

Au Togo, pour le moment il n’y a pas encore  d’incinérateurs, mais il y a un spécialiste envoyé par  l’Oms. Comme manquement, il reste un défi de  coordination pour le comité de gestion  et pour les partenaires du Togo.  

Le gouvernement togolais a mise en place  un comité de gestion technique pour faire face au virus Ebola, dans le cadre de la riposte de la maladie. 

Le Synphot réunis hier   propose au gouvernement « de mettre en place des comités techniques fonctionnelles, formés les professionnels, créer de véritable centre d’isolement, avec des équipements adaptés… ».